Entrepôt frigorifique

La situation

Depuis de nombreuses années, plusieurs associations d’usagers réclament un entrepôt frigorifique à la gare maritime.

En effet, celui-ci est indispensable pour garantir la chaîne du froid entre la fabrication des aliments et leur vente dans les réfrigérateurs ou congélateurs de nos épiceries et supermarchés.

Jusqu’à présent, notre approvisionnement ne respectait pas les normes sanitaires, et nous prenions le risque de manger de la nourriture avariée, avec des possibilités d’empoisonnement.

Heureusement, à notre connaissance, cela n’est pas encore arrivé!

Le projet

La bonne nouvelle est que le département a enfin pris la décision de lancer l’investissement pour construire cet entrepôt. C’était urgent!

Nous n’avons pas les détails, mais nous estimons les besoins à environ 600m² d’entrepôt pour répondre à la demande en saison. Cela permet de stocker les conteneurs et de laisser la place pour la circulation des chariots élévateurs.

La localisation

Une fois de plus, nous subissons l’opacité et le manque de communication de nos élus de la mairie et du département. Un projet comme celui-ci devrait être présenté aux Islais à l’avance, pour qu’ils puissent comparer les solutions, comprendre, et donner leur avis.

simulation d’un entrepôt de 500m²

Mais aucun détail nous a été communiqué officiellement. Nous devons écouter les rumeurs, qui parlent de la cale Barranger!
Cette rumeur est probablement vraie, car nous avons vu ces dernières semaines des techniciens vérifier la solidité du sol sur la cale en faisant des carottages.

Comment imaginer défigurer le front de port avec un bâtiment industriel? Déjà la nouvelle mairie s’impose à nous, mais là, ce serait le comble!
Il doit bien y avoir d’autre solutions côté Criée!

Rapprocher l’île du continent

Les Vendéens sont attachés à leur famille. A l’Ile d’Yeu, plus qu’ailleurs, voir sa famille est un vrai sujet: les familles sont divisées avec un pied sur le continent, un pied sur le caillou. Il nous semble essentiel de pouvoir faciliter au maximum les rapprochements entre islais et apparentés insulaires, les ex-islais, sans parler des amis !

Nous souhaitons, si nous sommes élus, pouvoir proposer des tarifs spéciaux pour les apparentés insulaires en période de fêtes pour que le prix des billets pour une famille ne soit plus un problème.

De nombreuses personnes rencontrent des difficultés à envoyer leur jeunes enfants sur le continent, nous mettrons en place un accompagnement des enfants de moins de 12 ans avec prise en charge avant l’embarquement et remise à la famille à l’arrivée.

La demande est aussi très importante pour un horaire de bateau en milieu de journée hors saison au moins un jour par semaine, le mercredi ou le samedi. Il faut trouver une solution pour éviter de longues attentes sur le continent pour un court rendez-vous médical ou une compétition sportive.

Nous serons vigilants, même si c’est une compétence régionale, à obtenir des horaires plus cohérents entre les bateaux et les transports publics. Le réseau régional des TER va être ouvert à la concurrence, il faut en profiter pour travailler sur les horaires des liaisons.

Et pour ceux qui attendent le bus ou le bateau, nous souhaitons aménager un espace d’attente où l’on peut travailler, équipé de tables, de wifi, de prises de courant et bien chauffé en hiver ! Nous en avons besoin à Fromentine mais aussi à l’Ile d’Yeu pour offrir aux professionnels un espace de coworking, très utile à tous les étudiants et télétravailleurs. Ils sont de plus en plus nombreux dans les gares et répondent aux nouveaux modes de travail.

Enfin, nous pensons qu’il est possible d’aménager un point relais-colis au service marchandises de la gare maritime, pour éviter d’avoir à faire des allers-retours compliqués et laborieux sur le continent pour un simple paquet.

Oya HélicoIl va de soi que nous ferons tout pour maintenir la liaison par hélicoptère pour les évacuations sanitaires et médicales. Nous veillerons à ce que tous les grands malades puissent profiter de tarifs adaptés en hélico pour pouvoir aller faire leurs soins régulièrement sur le continent. On entend dire que cette liaison pourrait être remise en cause si les conseillers départementaux ne viennent pas de la majorité municipale? Nous nous étonnons ! Comment peut-on imaginer se passer de cette précieuse liaison, surtout après l’épidémie que nous venons d’affronter ensemble !

Parc d’éoliennes en mer

éoliennes

Le sujet est brûlant en ce moment, et même si ce n’est pas un domaine relevant directement du département, il nous semble important d’en parler.

Un peu d’historique

Le projet de parc éolien a été lancé il y a plus de 15 ans.

A cette époque, le porteur du projet nous a fait des promesses d’énergie verte, durable, décarbonée, en bref, le seul avenir possible pour le climat et la planète.

Il nous a également mentionné les retombées pour l’Ile d’Yeu, avec plus de 100 emplois sur l’île, ce qui signifiait la venue de familles, donc des retombées économiques et sociales importantes pour les commerces, les écoles, etc.

Au niveau de l’emplacement, le porteur du projet a même accepté de modifier son projet à la demande des pêcheurs…

Le seul inconvénient était visuel, mais contre tous les autres avantages, cela nous semblait acceptable.

Un membre de notre binôme, Patrice Bernard, était membre du conseil municipal et à cette époque il s’est prononcé en faveur du parc éolien, comme de nombreux élus sur l’île, en Vendée et en France. A l’époque, tout le monde était convaincu que cela était la seule solution pour la planète.

La prise de conscience environnementale

Depuis 15 ans, de nombreuses voix se sont élevées contre les éoliennes, avec des associations, des politiques, des économistes, des ingénieurs et scientifiques…

Au tout début, cela ressemblait à des combats individuels de personnes qui craignaient pour leur confort personnel: vue gênée, perte de valeur de sa maison, etc.

Mais le discours a pris de l’ampleur, les consciences ont évolué, de plus en plus de personnes ont réalisé que la promesse d’énergie propre n’était pas complètement vraie
Le cycle de construction d’une éolienne consomme énormément de ressources (acier, énergie, métaux rares), le recyclage des matériaux en fin de vie n’est pas complètement assuré, notamment pour les pales.
Et la quantité d’énergie produite pendant la vie de l’éolienne est très inférieure à celle espérée (des études citent 25% de la puissance annoncée). Mais surtout, le caractère intermittent de cette énergie oblige à conserver ou construire d’autres productions (nucléaire, fuel, gaz).
Enfin, le coût de cette électricité pas complètement verte est exorbitant!

Beaucoup, comme Patrice, ont eu le sentiment d’avoir été floués sur cette énergie propre.

Nous vous recommandons de regarder cet excellent documentaire sorti récemment. Il n’est peut-être pas 100% objectif (aucun partisan des éoliennes n’a été interviewé), mais il a le mérite d’être crédible et il étudie largement le sujet: Éoliennes: du rêve aux réalités [le film]

La position de M’Yeu Ensemble et du binôme candidat aux départementales

Il y a un an et demi, au moment de la campagne pour les municipale, les 29 candidats de la liste M’Yeu Ensemble ont longuement débattu des éoliennes. Tout le monde n’était pas d’accord sur le sujet, mais nous avons fini par trouver une position commune:

    • Les éoliennes sont un projet d’Etat, et ne dépendent plus de l’avis d’un maire (ni aujourd’hui d’un conseiller départemental).
    • Les recours sont presque tous jugés et rejetés, donc il est très probable que le projet verra le jour.
    • Le gouvernement a annoncé sa volonté de doubler les capacités, mais nous nous opposerons à toute extension du parc de l’Ile d’Yeu car nous aurons assez donné!
    • Nous nous battrons pour au moins avoir la consolation des retombées économiques, avec l’implantation de la base de maintenance sur l’île, avec ses 80 emplois (contre plus de 100 au début!).

Aujourd’hui, notre binôme confirme cette position!

Nos inquiétudes

Si comme nous le craignons ce parc verra le jour dans quelques années, il est indispensable d’avoir au moins les retombées économiques. Et aujourd’hui, nous n’avons que des annonces du consortium, mais aucun engagement contractuel.

Déjà le nombre de techniciens est tombé à 80, contre plus de 100 au début, mais surtout, nous craignons que le consortium annonce un revirement de position, et l’installation de sa base de maintenance à l’Herbaudière ou à Saint Nazaire. Et ils auront une bonne raison pour cela, en expliquant qu’il n’y a pas de logement pour les techniciens et leurs familles.

En effet, rien n’a été fait pour anticiper ces logements. Et un terrain pressenti pour leur construction, derrière l’Ecole des Pêches, est en passe de devenir un lieu expérimental pour l’habitat réversible.

En l’absence d’engagement contractuel avec le consortium, et sans logement, nous risquons bientôt de n’avoir que nos yeux pour pleurer, avec des éoliennes et sans les emplois!

Quel avenir pour l’estacade?

L'estacade de Port Joinville

Certains l’ont peut-être remarqué dans le « Journal de la Vendée » du mois d’avril. Le conseil départemental lancera à l’automne 2021 la déconstruction de la passerelle de la Galiotte (l’estacade).

Le département prévoit de déconstruire l'estacade!
Journal de la Vendée – avril 2021

Aucune précision sur la suite… Vont-ils simplement la détruire et laisser Port Joinville sans cette estacade qui fait partie de notre patrimoine? Ou bien y a-t-il un autre projet de reconstruction plus tard? Une fois de plus, c’est opaque, rien n’est dit!

Carole Charuau et Bruno Noury viennent de dire à Ouest France qu’ils prévoient dans leur programme la réfection de l’estacade. Mais pourquoi ne l’ont-ils pas fait plus tôt, pour que cette réfection se fasse en même temps que la déconstruction, au lieu d’attendre, peut être plusieurs années? Est-ce simplement pour copier nos propositions?

En même temps, le conseil départemental annonce dans le numéro de mai qu’il a reconstruit à l’identique les estacades du port du Pont-Neuf à la Barre de Monts, pour « mettre en valeur notre patrimoine ».

La Barre de Monts a eu droit à de nouvelles estacades!
Journal de la Vendée – mai 2021

Quand nous serons élus, nous nous battrons en toute transparence et nous ferons tout pour faire reconstruire l’estacade. Cet ouvrage doit survivre et mériterait d’être classé monument historique.

Qui n’a pas un père, un oncle ou un grand-père qui utilisait cette estacade et son chemin de halage pour accoster au retour d’une campagne de pêche et haler le bateau à l’abri dans le port?

Et souvenez-vous des plongeons des jeunes depuis cette estacade pour saluer les retrouvailles ou les séparations à l’arrivée et au départ de la Vendée ou du Président Auguste Durand… C’était peut être un peu dangereux, et surtout très interdit, mais c’est notre Histoire!

Et combien de rendez-vous romantiques 💖 vont sombrer dans l’oubli si l’estacade disparaît 🙁 ?

Déploiement de la fibre optique sur l’Ile d’Yeu

Un peu d’histoire

Faisceau hertzien Port JoinvilleAu début, la seule connexion de l’île au continent était par faisceau hertzien (radio) entre la rue du Coin du Chat et Saint Jean de Monts avec deux faisceaux installés en 1977 puis en 2000.
Cela expliquait les débits souvent très faibles pour internet et sur les téléphones portables en 3G, surtout en saison. La 3G marchait vite entre le téléphone et l’antenne relai, mais il y avait des embouteillages pour arriver jusqu’au continent à cause du faisceau hertzien.

La fibre optique est arrivée sur l’île en 2015, avec un câble de 48 fibres qui traverse depuis le continent pour arriver aux Conches.
Elle a mis ensuite un an avant d’être amenée à Port Joinville, au local Orange® de la rue du Coin du Chat.
Cela a d’abord permis d’augmenter les débits pour les téléphones portables 3G, puis 4G et maintenant 4G+.
Puis le réseau téléphonique cuivre a été étendu par installation de nouveaux « NRA » (nom barbare des équipement de communication qui donnent accès à internet avec votre box). Ces NRA ont été installés devant l’église du Bourg, à la Croix et à la Meule, permettant ainsi de booster le débit internet, surtout pour ceux qui peuvent passer au VDSL au lieu de l’ADSL.

La fibre aujourd’hui?

fibre optiqueMais aujourd’hui encore, seuls quelques sites bénéficient de la fibre optique de bout en bout: la mairie et les bâtiments municipaux, l’hôpital, et quelques autres.

Le raccordement est en train de se faire pour certaines entreprises, notamment dans la zone d’activités de la Marêche. Elles vont pouvoir s’abonner et bénéficier d’un débit bien plus rapide.

Et demain?

Avec Vendée Numérique et le concours du Sydev, le département a décidé de proposer la fibre à tous les habitants de Vendée d’ici 2023 en investissant massivement aux côtés des communes.

Pour l’Ile d’Yeu, nous serons malheureusement parmi les derniers.

En 2022, il est prévu de raccorder à la fibre optique tout le noroît (Cadouère, Ker Pierre Borny, la Gournaise, la Pulante, le Cours du Moulin), le centre (rue Georges Clemenceau, rue des Corsaires, route des Sicardères, Ker Doucet, Ker Pissot), et le Ker Chalon jusqu’au Clousary.

Pour le reste de l’île, il faudra attendre 2023!

Pour plus de détail, cliquez sur la carte Vendée Numérique (en jaune 2022 et en rouge 2023)

déploiement fibre
carte ©Vendée Numérique de la fibre sur l’Ile d’Yeu

Comment cela se passera-t-il?

Tout d’abord, il faudra passer la fibre le long des routes, au même endroit que les fils téléphoniques.
Si le téléphone est enterré, la fibre sera enterrée, si le téléphone est aérien sur des poteaux, la fibre sera aérienne aussi. Sauf pour quelques rues qui bénéficieront de l’enfouissement juste avant l’arrivée de la fibre.

Si vous avez un terrain en bordure de route avec des poteaux téléphoniques, la mairie vous demandera d’élaguer les arbres afin de laisser un passage d’environ 1 mètre autour des câbles pour que les techniciens puissent travailler. N’attendez pas trop, les entreprises de paysagistes risquent d’être débordées!

Enfin, le raccordement à votre maison se fera gratuitement, à condition que la fibre puisse passer à côté du fil téléphonique.
Si vous n’avez pas de chance et que le fourreau du fil téléphonique qui passe sous votre jardin est abîmé (écrasé par exemple) et que la fibre n’arrive pas à passer, alors vous devrez payer les travaux pour installer un nouveau fourreau!

Et ensuite?

Dès votre maison raccordée, vous pourrez demander à un opérateur de vous faire un contrat fibre, pour raccorder votre box et bénéficier d’internet et de la télévision à la vitesse de la lumière!
Cela vous permettra de télécharger des films, de regarder la télévision en très haute définition, de jouer en réseau, et pour les plus sérieux, de télétravailler en faisant des visioconférences avec une image de bonne qualité qui ne saute pas!

multimédia

Moderniser nos réseaux

Concernant nos réseaux publics, nous engagerons les actions suivantes pour les moderniser:

    • Réhabiliter l’unité de séchage de la station d’épuration pour éliminer les odeurs et limiter la consommation énergétique.

 

    • Rénover le réseau du tout à l’égout existant pour limiter les rejets en mer et étendre ce réseau en zone très urbanisée.rejet en mer

 

    • Réhabiliter le réseau pluvial et créer des bassins d’orage à Port Joinville.Port Joinville

 

    • Enfouir progressivement les réseaux électriques et de télécommunication.Enfouissement des réseaux

 

    • Rationaliser l’éclairage public pour réduire la facture énergétique.lampadaire

 

    • Poursuivre le déploiement de la fibre optique d’ici 2023, c‘est un confort pour tous, un outil indispensable à beaucoup d’entreprises et un moyen de pouvoir travailler en restant sur l’Ile.fibre optique

Pôle culturel / médiathèque

Notre position relative au projet de pôle culturel/médiathèque a créé le débat.

Beaucoup d’interrogations ont été formulées à ce sujet et nous remercions ceux qui se sont exprimés sur le sujet. Nous tenons donc à vous présenter, de manière plus détaillée, les éléments de notre réflexion qui nous ont amené à ce choix.

Nous comprenons les regrets des personnes qui ont mené le projet et des agents qui se sont projetés dans ce futur outil, mais nous ne pouvons raisonner que dans l’intérêt général.

Nous ne remettons en cause ni le besoin de libérer de l’espace à l’école du Ponant en déménageant la bibliothèque ni la création d’une maison du patrimoine et d’un espace pour les archives.

Nous tenons simplement à adapter ce projet à la réalité et aux besoins de notre territoire en nous appuyant sur les éléments suivant:

L’emplacement
Site du Petit Chiron
Site du Petit Chiron

Le lieu retenu pour cet équipement nous priverait d’un espace utile, à l’avenir, pour les besoins liés à la santé et à nos seniors.

Dans ce quartier, le foncier sera nécessaire au regroupement des EHPAD (dossier en cours) et à l’extension de l’Hôpital Dumonté et de son centre médical mais également à la création de logements pour nos seniors.

Par ailleurs, sur le plan pratique, ce lieu pourrait apporter des difficultés relatives au stationnement.

Les subventions

La participation communale au projet est certes minorée par les subventions obtenues mais reste importante et peut être utilisée pour des projets plus utiles pour le territoire. Par ailleurs, une partie significative des financements extérieurs, dédiés à l’heure actuelle au projet, pourront être utilisés à d’autres fins, comme par exemple ceux obtenus dans le cadre du plan état région. Ils ne seront donc pas perdus.

Enfin, des dépassement de budget sont déjà identifiés, et ces dépassements ne seront pas subventionnés. 25% de dépassement du budget correspondent à presque 70% d’augmentation du coût pour la commune.

Notre responsabilité concernant les dépenses publiques

Nous considérons que les projets coûteux devront être adaptés aux besoins du territoire et obtenir l’adhésion de la population.

Que les financements soient locaux, départementaux, régionaux ou encore européens, en tant qu’élus, nous avons la responsabilité d’utiliser l’argent public de manière raisonnée.

Dédier un espace de plus de 750m² à un pôle culturel dont 500m2 de médiathèque pour l’île et ses 5000 habitants est tout simplement un luxe. Une enquête, réalisée il y a quelques années, avait d’ailleurs révélée que la réalisation d’une médiathèque n’était attendue que par une faible proportion de la population.

En plus des frais liés à la construction, un tel espace aura une incidence sur les coûts de fonctionnement de l’équipement (entretien, chauffage…).

L’architecture

Comme nous l’avons expliqué pour le projet de rénovation de la Mairie, nous sommes les garants du respect des réglementations relatives au PLU.

Pour des bâtiments situés dans Port Joinville, nous tenons donc à être exemplaires sur ces règles d’urbanisme imposées à l’ensemble du territoire.

Sur le plan architectural, le projet de médiathèque n’est tout simplement pas cohérent avec notre PLU.